jeudi 26 janvier 2012

The Julie Project by Darcy Padilla

The story of the life and death of Julie Baird spans 18 years starting with a chance encounter in 1993, and provides an in-depth look at poverty, AIDS, and social issues.



See more at www.darcypadilla.com

lundi 31 octobre 2011

Polka #15 nov-dec 2011


La une de Polka #15 sur la Somalie

La petite Fatma Ali a trouvé refuge avec sa mère à Mogadiscio, pour survivre à la sécheresse et à la famine. Des centaines de milliers de personnes sont en danger de mort dans la Corne de l’Afrique. Photo de Onur Coban

samedi 6 août 2011

Patrick Chauvel sur France Inter

Patrick Chauvel sur France Inter, dans l'émission "Témoins de passage" du vendredi 29 juillet 2011.

Reporter de guerre précoce, c'est à 17 ans, en 1967, qu'il se jette dans le grand bain : il se rend en Israël en pleine Guerre des Six Jours. Depuis, il n'a presque plus jamais lâché son appareil photo, et c'est avec cette arme dérisoire qu'il a pris part à tous les conflits.
La guerre, il la hait, et pourtant elle semble le poursuivre. Ou peut-être est-ce lui qui lui court après, tentant de l'attraper, afin de l'embrasser et de l'étouffer.
Quand il délaisse son appareil photo, c'est pour s'emparer d'un stylo, ou d'une caméra, et pour raconter, encore et encore, ces guerres qui le hantent.

jeudi 4 août 2011

La crise du photojournalisme sur France Inter

Depuis de longues années, déjà, le photojournalisme se débat dans un marché en crise. Toute-puissance des banque d’images, passage au numérique et presse en récession.
On les disait morts, les photoreporters font pourtant preuve d’une vigueur et d’une créativité jamais égalée. Aujourd’hui, le Grand Bain fait le point.
invités: Jean-François Leroy, photographe journalistique, directeur et fondateur du festival Visa pour l'image, Patrick Robert, photo-reporter indépendant

Emission "Le grand bain", par Sonia Devillers, du jeudi 4 août 2011:

mardi 14 juin 2011

Se méfier des faux-semblants...

Il faut se méfier des faux-semblants, ils sont depuis toujours les ennemis des journalistes et de tous les citoyens, quel que soit où l'on vive.
Il ne faut jamais oublié le b.a.-ba du journalisme: recouper ses informations, ses sources, enquêter, etc. Un travail difficile dans des cas comme la Syrie où les journalistes ont peu pour ne pas dire pas accès direct au terrain.
Reste le réseau des contacts, de plus en plus des blogueurs (mais qui est derrière... A lire: "La blogueuse de Damas Amina A. était… un Écossais" dans LeMonde.fr, lien plus bas) et bien ceux aussi de précieux "fixers", qui dans l'ombre travaillent avec les journalistes; tout un réseau qu'il faut tisser au fil du temps.
Transmettre une information ou la réécrire n'est pas du journalisme. C'est utile mais ça ne suffit pas. Avant de la transmettre, il faut la trouver, la vérifier, tout est un travail de long haleine au quotidien surtout dans le cas de sujets sensibles.
C'est la raison pour laquelle le journalisme ne s'improvise pas et que l'information s'achète. Quelqu'un doit payer pour ce travail de fourmi. Le lecteur, un annonceur...
C'est la responsabilité de tous de l'accompagner, de la suivre et de critiquer quand besoin est, les journaux et publications sérieuses qui s'engagent sur le terrain de l'information fiable et honnête. Il en va de nos libertés, de nos droits et de nos devoirs. Bonne lecture, D.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/06/13/la-blogueuse-de-damas-amina-a-etait-un-ecossais_1535330_3218.html

mardi 5 avril 2011

A documentary about John G. Morris - "Eleven frames"

A voir ce documentaire sur un grand, un très grand monsieur du photojournalisme. Une leçon pour rester exigeant, pour continuer à croire en ce métier et en ceux qui le font, pour relever des défis avec ceux qui vont sur le terrain, ceux qui prennent des risques (souvent) pour nous donner à voir et de tenter de mieux comprendre le mond...e.
Avec toute mon admiration pour ce vous avez fait et ce que vous faites, toujours.
"People are People the World Over". Ever.

This film tells the story of John G. Morris - the most influential photo editor of the 20th century - the era when photo editors chose the images that defined war, politics, culture - the life and times of generations.

samedi 18 décembre 2010

"Pakistan, the Land of the pure", par Sarah Caron


PAKISTAN, LAHORE, MARS 2009
Saïra Liagat, 22 ans, Bushra Shafi, 35 ans, et Urooj Albar, 26 ans. Accusées de mauvaise conduite, elles ont été victimes d’attaques à l’acide. Sarah Caron / Polaris
Aux pays des peurs

Le Pakistan vit un psychodrame. Militaires et taliban ne sont pas les seuls à tomber au champ d’horreur. Les principales victimes sont les civils eux-mêmes. La spirale de violence qui s’abat sur leur pays n’épargne ni les corps, ni les esprits et ne laisse personne en paix. C’est afin de comprendre que Sarah Caron continue de s’y rendre, trois ans après sa première commande au Pakistan pour suivre Benazir Bhutto. Sarah est une photographe dans la grande tradition des photo-reporters dits «de guerre». Bien plus même. Elle écrit aussi, pour appuyer le propos de ses images et apporter son témoignage. «Le Pakistan à vif » qu’elle révèle
dans ses photos de zones tribales est une contrée obscure, entre chien et loup. Un monde hanté de silhouettes d’hommes armés de kalachnikov et de femmes furtives. Les extrémistes sont au coeur de la
ville. Les medressas, les écoles coraniques, ont formé des bataillons de petits soldats que des seigneurs de la guerre manipulent comme de simples pions sur un échiquier de montagnes. L’endoctrinement et l’islamisation rampante des déshérités aussi bien que des enfants de bonnes familles ruinent tout chance de discernement. Sarah Caron sait qu’au Pakistan, le «pays des purs», le meilleur côtoie le pire. Elle va à sa rencontre, que ce soit avec des taliban en pleine nuit, dans les montagnes tribales, ou bien avec de jeunes stylistes de la Fashion week à Karachi. Sa photo des trois femmes brûlées transcende tous les discours. Des hommes jugent la conduite de leurs soeurs et de leurs épouses. Ils font justice à coup d’acide. Pourtant, à l’image de ces femmes magnifiques photographiées par Sarah, toute une frange de la société civile pakistanaise, fière et noble, se bat au quotidien contre l’ignorance et l’arbitraire pour prouver qu’il n’y a pas de fatalité. • D . B .
«Pakistan, Land of the Pure», photos par Sarah Caron, textes d'Alain Genestar et de Dimitri Beck, éd. Images en Manoeuvres, 168 p., 28 euros.
«Le Pakistan à vif», récit de Sarah Caron, préface de Caroline Mangez, éd. Jean-Claude Gawsewitch, 256 p., 22,90 euros.


jeudi 9 décembre 2010

Soutenir Joao Silva / Raise funds for Joao Silva


Caption: Taskforce 1-66 (66th Armoured Regiment), 4th Infantry Div. PFC Edwin Laplaunt carries a doll's foot that was given to him by a friend who survived a tour of duty in Iraq and claimed this was due to the lucky foot. Later that day photographer Joao Silva lost both legs below the knees to an anti-personnel mine. Afghanistan, Kandahar province, Arghandab district, checkpoint 16, 23rd Oct 2010. © 2010 Joao Silva
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Joao Silva, photographe du New York Times, a récemment perdu ses 2 jambes après avoir sauté sur une mine en Afghanistan. Il était en reportage.
Des amis de Joao ont créé un site internet pour vendre ses tirages et réunir des fonds : http://joaosilva.photoshelter.com/
Vous pouvez également laisser un message à Joao via ce même site internet.
N'hésitez donc pas à faire circuler cette information autour de vous.
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Joao Silva, the New York Times photographer, recently lost both legs after stepping on a landmine in Afghanistan when he was on an assignment.
Joao’s friends have set up a Website to sell prints and raise funds: http://joaosilva.photoshelter.com/
You can also leave a message for Joao on the Website.
Please forward this information and message to your contacts.
You can also leave a message for Joao on the Website.

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A fund and a Web site, Support Joao Silva Photojournalist, have been set up by Greg and Leonie Marinovich, friends of Mr. Silva, to help him and his family as he goes through rehabilitation. Money is being raised through outright donations and the sale of prints by Mr. Silva. “We have little doubt he will continue photographing but he will certainly not be able to go to war zones,” the Marinoviches said. “We estimate he will not be able to work for about two years.” Mr. Silva is at Walter Reed Army Medical Center. The New York Times has told the Pentagon that it will be responsible for his treatment and care, and is assisting his family in other ways. Should the fund collect more money than is needed, the Marinoviches said, what is left will be donated to a charity chosen by Mr. Silva.

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Pour en savoir plus sur Joao Silva:
http://lens.blogs.nytimes.com/2010/10/23/widespread-impact-from-an-afghan-mine/
http://atwar.blogs.nytimes.com/2010/10/28/courage-recognized-joao-silva-in-combat/

vendredi 27 août 2010

Polka #10 est sorti / is available



Et une couverture spéciale avec le dernier reportage de Stanley Greene sur Haïti pour Polka à l'occasion du festival de photojournalisme Visa pour l'Image à Perpignan.


Plus d'informations sur www.polkamagazine.com